POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

Je peine...la villanesque.

Je peine..jpg

 

Je peine

 

Je peine à m’accrocher au rythme des saisons

Que je vois défiler  à chaque jour  dès l’aube

Qui revêt  peu de chose où le ciel se dérobe.

 

À ne broyer du noir bien plus que de raisons

L’histoire enfin se conte au puits que tout englobe,

Qui revêt peu de chose où le ciel se dérobe.

 

J’ai pansé la blessure, où sont tous les blousons ?

Les morts dans la souffrance ont eu ce vieux microbe

Qui revêt  peu de chose où le ciel se dérobe.

 

On ne réfléchit plus quand vient aux horizons

La mort enfin  flétrit, reprend sa vieille robe,

Qui revêt  peu de chose où le ciel se dérobe.

 

Maria-Dolores



17/11/2014
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