POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

Le maillet

 

 




La rose et la Jonquille...Forme le Maillet ...Création Photofiltre

Rose et Jonquille

 

 

 

La rose et la jonquille...

 

Tu m’as offert la rose et la belle jonquille.

Ce matin de printemps réveille le bonheur.

Griser par ton regard sous la verte charmille

Tu berces chaque soir le tic-tac de mon cœur.

 

Défaits mon bien-aimé cette vile broutille

Tu m’as offert la rose et la belle jonquille.

Dans ce Jardin d’Éden, repose sans valeur.

Un bijou d’un éclat brisant tout butineur.

 

J’aime tant observer cet œil que l’on maquille,

Dans le plus grand silence, éveille le vainqueur.

Tu m’as offert la rose et la belle jonquille,

Évoquant sous la lune un songe enlumineur.

 

Retiens-moi dans tes bras, d’un tour l’on déshabille.

Brûlant de volupté contourne mon humeur

Est-il plus grande joie à troubler un conteur ?

Tu m’as offert la rose et la belle jonquille.

 

Maria-Dolores

 


27/04/2024
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Le chemin de ton coeur ...Forme le maillet...Mise en page Photofiltre

Le chemin de ton coeur

 

 

Le chemin de ton cœur

 

Je connais chaque pas, le chemin de ton cœur

Où renaît à l’aurore une fleur merveilleuse.

Dépeins-moi sur la page en la vive couleur.

Sur l’ivresse des mots cette larme soyeuse.

 

 

Pressentant ton ennui l’insolente rancœur

Je connais chaque pas, le chemin de ton cœur

Elle espère la nuit la lune sommeilleuse.

Percevoir une flamme en la raison mielleuse

 

Érato nous éprouve en cet écho pleureur

Charmant nos émois dans l’œuvre périlleuse

Je connais chaque pas, le chemin de ton cœur

Laisse-moi t’éclairer d’une âme ensorceleuse.

 

Pardonne celui même où saigne toute ampleur

Nul ne sait si la vie est la joie orgueilleuse

Où la sagesse souffle en note précieuse

Je connais chaque pas, le chemin de ton cœur.

 

Maria-Dolores

 


16/04/2024
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Dans tes yeux...Forme le Maillet ...Création photofiltre

Dans tes yeux

 

 

 

Dans tes yeux

 

Or, je tremble de voir dans tes yeux la souffrance.

Maintenant, que la vie est au bout de la nuit

Où le vide dessine et respire en silence

De cette impression opposant notre ennui.

 

Je pensais comme toi prendre la liberté,

Or, je tremble de voir dans tes yeux la souffrance,

Et dans l’ombre vibrer d’une futilité

Qui me laisse pantoise à briser l’excellence.

 

L’âme de ta bonté caresse une attirance

je veux croire à jamais l’instant de ton plaisir

Or, je tremble de voir dans tes yeux la souffrance

Quand mon corps apaisé se soumet de désir.

 

Nul ne sait que mon cœur est à toi pour toujours

Même si je ne peux espérer dans l’errance

Dont, le monde s’octroie un aveu tous les jours

Or, je tremble de voir dans tes yeux la souffrance.

 

Maria-Dolores


06/04/2024
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On découvre le monde ....Forme le Maillet ...Création photofiltre

On découvre le monde

 

 

On découvre le monde

 

Sous la lune vermeille, on découvre le monde

Avait-il d’un aveu chagriné chaque nuit ?

Quand le soir se fait doux et l’amour nous inonde

Il devine mon cœur sans écouter l’ennui.

 

Maintenant que le songe a percé l’avenir

Sous la lune vermeille, on découvre le monde

En gardant à l’esprit l’ombre d’un souvenir

J’aimerais retrouver une âme aussi féconde.

 

Puis Morphée en tous sens nous enivre à la ronde

Dévoilant dans un rêve à son pas le chemin

Sous la lune vermeille, on découvre le monde

Le temps est si furtif qu’il est déjà, demain.

 

Le soleil chaque jour vient veiller le désir

Dont l’ardeur nous émeut d’une humeur vagabonde

Que l’on dit se complaire à naître d’un plaisir

Sous la lune vermeille, on découvre le monde.

 

Maria-Dolores


27/11/2022
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Novembre...Forme le Maillet ....Création Photofiltre

Novembre

 

 

 

 

 

Novembre

 

L’étincelle glacée attise dès novembre

Le silence troublant d’un joli regard d’ambre

Le jardin monotone a laissé l’arbre nu

Quand la nuit se dévoile en l’aveu retenu.

 

On met sur un trépied la rose d’antichambre

L’étincelle glacée attise dès novembre

Sous l’ombre de son âme, elle élève le soir

L’infini vient du moins offrir un brin d’espoir.

 

Mais le froid vient couvrir une neige d’hiver

Le luthier tortueux a mis son pull-over

L’étincelle glacée attise dès novembre

Dans un nid bien douillet la chaleur d’une chambre.

 

Mais voici que le vent souffle au-dessus du toit

La tempête s’étend, on la montre du doigt

Mais chacun reste au chaud pour attendre décembre

L’étincelle glacée attise dès novembre.

 

Maria-Dolores

 


16/11/2022
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